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13 février 2018 2 13 /02 /février /2018 10:20

On dit en Afrique qu'un village sans musique est un village mort !

Pour le Mali et avec lui, coup double ces deux derniers week-ends pour la belle émotion collective que crée chaque fois un moment musical exceptionnel.

Musique au salon, à La Garenne-Colombes

Musique au salon, à La Garenne-Colombes

2-4 février, musique au salon : intimes, dans un cadre privé, nos deux concerts à la maison au bénéfice du Mali, nous ont touché l'âme et rempli de bonheur. Aleksey Ishchenko et Anastasia Karizna, nous ont transportés, dans un programme magistral,  par leur talent, leur virtuosité, leur intériorité. Un public comblé !
 

Aleksey donnera un prochain récital de piano le 24 mai à Paris, au théâtre de l'Ile Saint Louis

Aleksey et Anastasia s'y produiront aussi ensemble les 2 mai et 8 juin, avec entre autres, plusieurs des pièces qu'ils ont jouées au salon et que nous pourrons réentendre !

La Seine musicale, sur l'île Seguin, à Boulogne Billancourt

La Seine musicale, sur l'île Seguin, à Boulogne Billancourt

9 février, les Victoires de la musique : grandioses, dans la nouvelle Seine musicale, les Victoires de la Musique 2018 ont récompensé - série Musiques du Monde-  l'album du groupe créé par Matthieu Chedid, LAMOMALI.  Toumani et Sidiki Diabaté, la diva Fatoumata Diawara et leurs musiciens, ont enflammé la salle !

Extraits de presse :

"LAMOMALI est  le fruit de la complicité entre Matthieu Chedid, artiste de scène accompli déjà récompensé par huit Victoires de la musique, et le discret mais tout aussi génial et respecté Toumani Diabaté, membre d’une dynastie qui a fait de la kora  l’un des instruments africains les plus emblématiques. Son fils aîné Sidiki, star montante du hip hop (à tout juste 25 ans, il remplit des stades au Mali) a également pris part à l’aventure.

Toumani et Sidiki sont respectivement la 71ème et 72ème génération d’une lignée de maîtres de la kora remontant à l’empire mandingue, à une époque où l’Afrique de l’Ouest était unie. « Ma mission a toujours été de faire découvrir la musique mandingue au reste du monde, et de faire comprendre aux gens que la musique n’a pas de frontières », explique Toumani, qui tout en développant un style ancré dans la tradition, est toujours resté ouvert aux collaborations. Au cours de sa carrière, le musicien s’est ainsi frotté à de nombreux genres musicaux.... « Je ne joue pas la musique des autres, et ils ne jouent pas la mienne », précise-t-il. « A chaque fois que nous mettons nos musiques en commun, nous créons quelque-chose de nouveau. »

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