Ils sont « morts pour la France, pour la protection des peuples du Sahel, pour la sécurité de leurs compatriotes, et pour la liberté du Monde. » (Cour des Invalides, éloge funèbre du 2 décembre, prononcé par Emmanuel Macron)
Nicolas Mégard, 35 ans, il laisse une femme et trois enfants
Benjamin Gireud, 32 ans
Clément Frison-Roche, 28 ans, il laisse une femme et une petite fille de 7 mois
Alex Morisse, 30 ans
Pierre-Emmanuel Bockel, 28 ans, il laisse une future épouse, enceinte
Julien Carette, 35 ans, il laisse une femme et deux jeunes garçons
Romain Salles de Saint Paul, 35 ans, il laisse une épouse et deux petites filles
Tous les sept appartenaient au 5ème régiment d’hélicoptères de combat de Pau (5ème RHC)
Romain Chomel de Jarnieu, 34 ans
Alexandre Protin, 33 ans, il laisse une compagne
Antoine Serres, 22 ans
Valentin Duval, 24 ans
Tous les quatre appartenaient au 4ème régiment de chasseurs alpins de Gap
Jérémy Leusie, 33 ans, il laisse une compagne
Andreï Jouk, 43 ans, il laisse une femme et quatre enfants
Tous les deux appartenaient au 2ème régiment d’artillerie de Varces
Ils ont tous été promus au grade supérieur et ont été faits Chevaliers de la Légion d’Honneur par le Président de la République.
Depuis l’inauguration, au Parc André Citroën (Paris XVe), du Monument aux Morts pour la France en Opérations Extérieures, le 11 Novembre dernier, ces 13 soldats morts au Mali le 25 novembre dernier, officiers, sous-officiers, caporal-chef, seront les premiers dont les noms vont être gravés « à l’encre de pierre » pour être inscrits, avec ceux qui les ont précédés, dans la mémoire nationale.